Au nom du patrimoine

Avec les groupes islamistes au Sahel puis l’Etat islamique en Irak et en Syrie, le patrimoine culturel mondial a payé un lourd tribut. Les sites antiques de Palmyre, Hatra mais aussi les musées de Mossoul ou de Raqqa ou des monuments religieux ont été réduits en miettes. Ces atteintes, depuis 2016 avec la condamnation du djihadiste malien Ahmad Al Faqi Al Mahdi, sont considérées comme des crimes de guerre par la Cour pénale internationale. En parallèle de cette réparation morale, la communauté internationale s’active aujourd’hui à la réhabilitation et à la reconstruction des témoins des civilisations passées.

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